martine rochat
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Qui pense écriture pense logiquement écrivain: romancier ou poète... Mais les métiers qui utilisent l’écrit comme matière première ne se limitent pas à cela. Le premier Salon international de l’écriture, qui a eu lieu cette fin de semaine en trois lieux à Echichens, a, entre autres, mis en évidence divers métiers en lien avec la plume, souvent méconnus, représentés par 19 exposants au centre Créavie, à Colombier.
En premier lieu, le graphologue. «Nous sommes ici pour faire connaître notre activité, qui est souvent victime d’a priori», expliquent Adeline Roguet-Kern et Ami Durussel au stand de la Société romande de graphologie. «La graphologie est un métier sérieux, même s’il n’est pas protégé», soulignent-ils. Les intéressés doivent suivre trois ans d’études, sanctionnées par un mémoire et avoir une formation de base en psychologie. La graphologie est, en l’occurrence, un moyen de mieux se connaître soi-même....