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"Il ne s'agit ni de peindre le diable sur la muraille, ni de paniquer les élus et la population, mais, au contraire, de mettre en place, de manière anticipée, une structure et des procédures permettant de faire face à toute situation potentiellement dangereuse pour Morges et les Morgiens." Le syndic Vincent Jaques justifie, de la sorte, une demande de crédit de 100 000 francs par la Municipalité, en vue de financer la création d'une cellule de crise lors d'événements majeurs. Le préavis a été déposé quelques jours seulement après les attentats de janvier à Paris. Est-ce à dire que l'exécutif craint de voir La Coquette livrée aux jihadistes de Daech ou d'Al-Qaïda? Vincent Jaques répond par la négative. " Le document, élaboré bien avant, était prêt à ce moment-là. Il y a eu au plus un hasard de calendrier... En fait, la Municipalité a commencé à réfléchir à la...