Cette division par six et demi du montant de rénovation est le résultat d’un gros travail de la commission chargée d’étudier ce préavis. En décembre, le cœur a parlé durant la séance du Conseil de Saint-Prex où certains ne pouvaient pas envisager la disparition du plongeoir et d’autres trouvaient que le préavis de presque 1,2 million de francs était exagéré.
Les travaux prévus pour sécuriser l’infrastructure – notamment la création d’une fosse délimitée par des palplanches répondant aux recommandations de la Fédération internationale de natation (FINA) sur lesquelles se base le Bureau de prévention des accidents – ne satisfaisaient personne. La discussion s’était alors terminée sur un retour du préavis à la commission qui devait le rapporter en février. Finalement, mercredi soir, les conseillers communaux ont voté, avec le cœur certes, mais aussi après avoir fait travailler les méninges.
Un expert en génie civil à la rescousse
Car peu après...