«Le vœu de la Municipalité était que les conseillers généraux aient une réflexion à ce sujet, ce n’est pas négatif s’ils ont refusé la transition vers un Conseil communal», estime le syndic Daniel Barbezat. Jeudi, l’organe délibérant a balayé la proposition municipale, suivant en cela les arguments de la commission de gestion défavorable au projet. «A l’heure actuelle, seul sept communes avec moins de 500 habitants sur un total de 309 communes vaudoises fonctionnent avec un Conseil communal, soit environ 2%», a-t-elle indiqué.
A Saubraz, l’organisation actuelle est jugée adaptée: la participation est suffisante et stable, les conseillers étant «fidèles». Les coûts sont raisonnables, ce qui ne serait probablement pas le cas – craint la commission – pour un Conseil communal. Enfin, «depuis plusieurs années, le Conseil général n’a plus été dérangé par des assermentations opportunistes», ont affirmé ses membres.
Lors de cette même soirée, les conseillers ont par contre...