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Visite guidée de la nouvelle Vaux-Lierre à Etoy

Début mai, les pensionnaires de la Vaux-Lierre ont découvert leur nouvel espace de soin et remise en forme. Cet été, l'une des employée, Sandy Bonzon, et le vétérinaire responsable, Frédéric Telfser, se muent en guide.

27 août 2014, 14:05
Etoy, mercredi 13.08.2014, La Vaux-Lierre, visite des nouveaux locaux, Sandy Bonzon (gardienne d'animaux) et Frédéric Telsfer (vétérinaire) soignent une buse variable blessée à l'aile, photos Cédric Sandoz

En haut des sept marches qui mènent à l’entrée principale du bâtiment, plusieurs portes en bois, de différentes tailles, sont munies d’une clé et d’un numéro. «C’est l’une des nouveautés, explique le vétérinaire de Montherod. Les gens qui nous amènent des oiseaux blessés lorsque nous ne sommes pas là, peuvent les laisser dans l’un des casiers, le fermer à clé et y remplir une petite fiche. Avant, nous avions déjà un système similaire, mais là les animaux se retrouvent directement dans le bâtiment et cela rassure les gens. Même si ces bêtes supportent très bien de rester dehors.»

De l’autre côté, les casiers donnent directement dans la pièce vouée aux premiers soins et à la quarantaine. Chaque année, ce sont 1200 à 1300 oiseaux de toutes tailles qui transitent par cette structure. La plupart provenant de l’arc lémanique, mais aussi de la Vallée de Joux, voire même des cantons de Fribourg ou du Valais. Mai à août sont les mois les plus chargés en nombre d’animaux blessés ou tombés du nid. Beaucoup de particuliers, mais aussi des gardes-faune ou la police prennent le chemin d’Etoy avec un volatile blessé.

En attendant la page complète dans "La Côte" de jeudi 27 août, visitez la Vaux-Lierre en images.

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