Il y avait du blues dans l’air ce jeudi soir du mercredi 22 janvier dans le quartier du Flon. Mêlé à la joyeuse énergie déployée par le chanteur Bastian Baker sur scène, cela donnait un étrange cocktail d’émotions pour clôturer les Jeux olympiques de la jeunesse de Lausanne 2020. Et l’observateur, amateur mais peu connaisseurs des sports d’hiver, que je suis a carrément regretté de ne pas avoir posé la plume professionnelle pour vivre pleinement ces treize jours sportifs et festifs, comme des centaines d’autres bénévoles d’ici et d’ailleurs.
Le meilleur du sport
Car ces olympiades réservées aux jeunes, malgré ou plutôt grâce au fait qu’elles ne sont pas les vrais, les démesurés J.O. des grands m’ont fait vibrer. Elles exhalaient les meilleurs parfums du sport: la volonté de gagner ou tout au moins de se frotter aux autres ajoutée au plaisir de participer à un grand rendez-vous se lisait...