«On doit avoir des clients pour vivre!» Le chocolatier Alexandre Paul rappelle ce principe de base pour expliquer la démarche entreprise avec d’autres commerçants de la rue du Collège: ils avaient envisagé d’installer un totem temporaire avec le nom des boutiques de cette artère. L’idée était de le poser avant les fêtes de fin d’année, période très importante pour la plupart d’entre eux. Car avec l’installation des chalets de Noël, place Bel-Air, les acteurs économiques de cette rue transversale craignent de ne pas capter la lumière.
«Nous avons besoin de cette visibilité. C’est un petit plus qui a beaucoup d’importance! Surtout que notre rue n’est pas la plus éclairée», complète l’artisan.
Sauf que le dossier qu’ils avaient remis à la Commune, après avoir suivi la voie administrative, a reçu un avis négatif, au motif qu’il existe à Nyon un moratoire sur ce mobilier urbain. Or, le municipal en charge de...