Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Ajet: «Ce fut une vraie crise mais nous avons retrouvé de la sérénité»

L’Association pour l’accueil de jour des enfants en Terre Sainte (Ajet), en plus de remplir une mission cruciale pour la région, est l’un de ses plus grands employeurs. Ces responsabilités ont charrié leur lot de problèmes.

26 sept. 2018, 17:30
Mélanie Gras, directrice de l'Ajet (à g.) et Stéphanie Emery, présidente du comité de Direction, font le point sur l'association de Terre Sainte.

En 2019, l’Association pour l’accueil de jour des enfants en Terre Sainte (Ajet) fêtera ses dix ans d’existence. Une décennie qui aura vu l’organisation intercommunale grandir à vitesse grand V pour répondre à la demande exponentielle en termes d’accueil de jour pré et parascolaire. Tout a démarré à la fin des années nonante avec quelques mamans bénévoles par-ci par-là. Repris par les communes dans les années 2000, l’Ajet gérait alors sept UAPE (unité d’accueil pour écoliers).

Aujourd’hui en plus de celles-ci, l’association s’occupe de trois crèches, d’un réseau d’accueillantes en milieu familial, d’un centre d’animation vacances et d’un centre de jeunes. Et cette croissance rapide n’a pas été sans poser quelques problèmes. La présidente du Comité de Direction Stéphanie Emery et la nouvelle directrice Mélanie Gras reviennent sur cette mauvaise passe et esquisse un avenir plus serein.

Depuis un certain temps, des rumeurs circulent en Terre Sainte sur l’Ajet qui...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias