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André Rosé, le «Titi» nyonnais traverse les clans et les époques

Enfant de Nyon, celui qui sera secrétaire municipal adjoint jusqu’en 2008 est aussi un organisateur de manifestations chevronné. Il est également un passionné de sports.

11 janv. 2021, 05:00
Titi Rosé, Nyonnais pur sucre, n'est jamais bien loin de "son" château.
7/8 La région dans les yeux de…
En 8 épisodes, en partenariat avec Nyon Région Télévision et avec le soutien des communes de Nyon, Gland et Coppet, «La Côte» brosse chaque semaine le portrait d’une personnalité marquante du district de Nyon.

«Ni blanc, ni rouge, votez Rosé!» Le slogan est percutant et le résultat tout autant: avec 2352 suffrages (dans son district nyonnais) à l’élection au Conseil national de 1987, le radical André «Titi» Rosé fait mieux qu’un certain Armand Forel (grande figure politique nyonnaise de la seconde moitié du XXe siècle). Malgré cette victoire régionale (à défaut d’être cantonale), «Titi» ne sera pas élu à Berne. «Je suis entré chez les radicaux parce qu’un ami (ndlr: Maurice Campiche) me l’avait demandé. Mais j’aurais également pu intégrer le Parti socialiste, puisque Georges Favez (ndlr: municipal de 1978 à 1981) m’en avait fait la proposition. Seulement il est arrivé trois jours...

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