Constantin Salameh est un homme d’affaires. Et il ne s’en repend pas. Mais après avoir dirigé les services financiers de Hewlett Packard au niveau mondial, puis avoir géré l’un des plus grands fonds d’investissement en main d’une famille du Golfe, il met depuis quatre ans ses compétences et son expérience au profit des pays émergents.
«Après trente-cinq ans à chercher la rentabilité maximale, je me suis dit «basta». Il était temps de passer à autre chose», explique le sexagénaire d’origine libanaise établi à Bogis-Bossey depuis près de trois décennies. Cela tombait bien car la fameuse université de Stanford, où il avait décroché son MBA (Master of business administration) en 1984, recherchait à ce moment-là d’anciens élèves pour lancer un programme ambitieux. Celui-ci, baptisé Seed Transformation – que l’on peut traduire par les graines de la transformation.
Partager ses compétences de businessman
Ce dispositif dispense depuis quatre ans de la formation...