La 44e édition ne fut pas de tout repos pour l'équipe de Paléo. D'abord un festival incomplet - une première depuis 20 ans - pour lequel il a fallu faire de la promo jusqu'à l'ouverture des portes. Puis trois annulations, dont celle d'une tête d'affiche, Shaka Ponk, samedi, annoncée quelques heures seulement avant le concert. Mais au final pas de quoi en perdre le sommeil.
D’abord parce que 99% des billets ont trouvé preneurs: «Si je devais signer pour une fréquentation similaire, pour les 20 ans à venir, je signerais tout de suite", a commenté dimanche Daniel Rossellat, lors de la traditionnelle conférence de presse de clôture. Il ne restait quelques centaines de billets à vendre pour le samedi et 1500 pour le dimanche.
Eicher, le sauveur
Ensuite, parce que l’annulation de Shaka Ponk a donné lieu à un concert unique, de dernière minute, chapeauté par Stephan Eicher. Le Bernois...