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Mikael Rudaz, cantonnier à Gimel: «J’ai vu un collègue se faire foncer dessus»

On les croise souvent, tout d’orange vêtus, mais connaissons-nous réellement le quotidien de ces agents d’entretien? Rencontre avec Mikael Rudaz, du secteur de Gimel.

05 sept. 2019, 07:00
Mikael Rudaz, cantonnier à Marchissy, aux commandes du "robot".

Mikael Rudaz est nouveau dans le métier, il a intégré la Direction générale de la mobilité et des routes (DGMR) il y a huit mois environ. Mais au fait, comment devient-on cantonnier? «Je suis menuisier de formation mais je me suis fait licencier pour des raisons économiques. Ensuite j’ai eu envie de me lancer dans ce métier, il y a eu un départ en retraite et j’ai tenté ma chance, et me voilà à ce poste aujourd’hui», raconte-t-il.

Ce qu’il lui plaît surtout dans ce travail, c’est d’être en phase avec la nature. Il peut suivre un rythme saisonnier, au printemps et en été il fauche et débroussaille, puis il faut ramasser les feuilles et installer les piquets à neige en automne. En hiver, le rythme change, un système de piquet est mis en place pour assurer le déneigement entre 4h et 22h. Puis avec le printemps, la période de...

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