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Comment ceux qui font Paléo prennent leur mal en patience

Pour eux, cette semaine de juillet devait être synonyme de travail intense et d’adrénaline à Paléo. Voici comment ils comblent le vide.

Jacques Monnier, Daniel Rossellat et Mik Clavet ont chacun leur technique pour affronter cette semaine sans Paléo.

Certains parviennent à voir le positif, pour d’autres, c’est plus difficile. Pour les collaborateurs de Paléo, la situation a dans tous les cas quelque chose d’un peu surréaliste. Durant de longs mois, ils ont œuvré à la préparation de la 45e édition puis ont dû l’annuler. La pression désormais retombée, cinq acteurs clés de la manifestation nous livrent leurs impressions et la façon dont ils occupent cette semaine qui aurait dû être source de stress mais aussi d’excitation.

Daniel Rossellat, big boss: direction le Tyrol «pour ne pas verser dans la nostalgie»

Cédric Sandoz

C’est son premier été blanc depuis 45 ans. Alors forcément, pour Daniel Rossellat, la situation est vraiment très étrange. «Je le vis comme un mois de décembre sans Noël. Image-t-il. Mais je ne veux pas verser dans la nostalgie. Je suis d’un naturel positif. De toute façon, on ne peut rien y changer.» Reste que cette...

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