«La Société industrielle et commerciale (SIC) est en crise, c’est une évidence. Mais la déprime n’entraîne pas forcément la mort, a relevé Daniel Rossellat, mercredi soir. Une crise, c’est aussi l’opportunité de réinventer une nouvelle structure, plus professionnelle, avec pourquoi pas des sections ou des groupes pour mieux répartir les responsabilités.»
Avant que la quarantaine de commerçants présents à l’assemblée générale extraordinaire de la SIC ne se prononce sur sa poursuite ou sa dissolution, le syndic de Nyon a proposé une alternative: à savoir la mise en place d’une cellule de crise. Dans le cadre de réunions animées par un modérateur dont les frais seraient pris en charge par la Ville, un travail serait conduit pour reconstruire l’association. Les conclusions de ces discussions pourraient être présentées d’ici à la fin du mois d’avril.