«Cela va beaucoup me manquer!» Samedi soir, le Château de Coppet fêtait sa fermeture annuelle. Mais aussi le départ à la retraite de Dagmar Jank, doyenne de ses huit guides. Un métier que cette Autrichienne, arrivée en Suisse il y a 44 ans, a exercé avec passion. Dans quatre langues différentes: le français, l’allemand, l’italien et l’anglais.
L'histoire d'amour entre Dagmar Jank et le château a commencé sur les bancs de l'Université de Genève, alors qu’elle y étudiait les Lettres. «A la fin de mon cursus, je devais présenter un travail personnel. J'ai choisi de m'intéresser à Madame de Staël. Cela m'a passionné. Notamment le fait que ce lieu ait été le berceau des idées en Europe, au 18e siècle. Et un espace de liberté.» Quelques années plus tard, c'est donc sans hésiter qu'elle postulera pour y devenir guide.
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