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Crise institutionnelle à Nyon et première syndique à Morges

La Ville de Nyon se retrouve sans syndic. Une épopée qui tiendra en haleine les Nyonnais quasi un an!

12 août 2013, 00:01
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C'est une affaire à rebondissements multiples qu'ont vécue les Nyonnais il y a cinq ans. Suite au déménagement à Prangins de son syndic d'alors, Alain-Valéry Poitry, destitué le 21 décembre précédent, l'exécutif se retrouve sans chef. Des recourants de gauche s'organisent pendant les fêtes de fin d'année. Ils demandent la réinsertion immédiate du syndic socialiste avec effet suspensif jusqu'à l'épuisement des recours. Les recourants estiment que le syndic, comme tout autre citoyen, a le droit de ne pas être condamné avant d'être jugé. Mais leur démarche sera vaine. A fin janvier, M. Poitry renonce à la politique; la Cour lui a refusé l'octroi suspensif. La Ville n'a plus de chef. Des élections peuvent avoir lieu. En septembre Daniel Rossellat, hors parti, le radical Maurice Gay et l'ex-popiste Jean Meyer s'affrontent. Avec seulement trois voix de plus que la majorité absolue Daniel Rossellat est élu. La course à la syndicature est...

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