Si on a reproché à l’exécutif son manque de communication dans sa gestion de la crise de la cyberattaque dont la commune a été victime, il s’est montré en revanche transparent lors de la première séance du Conseil communal d’après «cataclysme», comme l’a nommé Monique Choulat Pugnale. La syndique, en début de séance, mardi soir, a fait son mea culpa.
«Oui, notre commune s’est fait pirater. Oui, nous n’avons pas communiqué à ce sujet pour ne pas augmenter la vulnérabilité de Rolle, sur recommandation des responsables informatiques de la Confédération. Oui, nous n’avons pas payé de rançon. Je comprends votre déception d’avoir appris tout cela via la presse. Je m’en excuse au nom de la Municipalité.»
Problème de transmission de l’information
De nouvelles révélations ont succédé aux excuses. «S’il y a eu un...