propos recueillis par Rodolphe haener
rhæner@lacote.ch
A la tête de l’exécutif nyonnais depuis ses débuts en politique en 2008, Daniel Rossellat a de nouveau été réélu au premier tour des élections. La droite n’a ainsi pas souhaité challenger son poste de syndic. Entretien.
Avez-vous été déçu du résultat de ces élections?
Par rapport à ce que j’avais imaginé, disons que la situation n’est pas idéale. Mais je peux parfaitement vivre avec ce nouvel équilibre des forces.
Vous y attendiez-vous?
C’est un résultat imprévu mais pas imprévisible. Il y avait, dans ma vision, une logique à partir à 4 candidats et non 5 ou 6, car je voyais peu de probabilités pour que la gauche renverse la majorité au Conseil communal. Dès lors, je ne souhaitais pas repartir dans une législature caractérisée par un manque de symétrie entre législatif et exécutif, comme c’est le cas actuellement. Par contre, ce qui était...