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Daniel Rossellat, syndic à peine contrarié

L’entrepreneur reste à la tête de la Municipalité. Bien que fragilisé par la montée du centre-droit, il assure conserver ses marges de manœuvre.

07 avr. 2016, 23:53
/ Màj. le 08 avr. 2016 à 00:01
Nyon, lundi 21 mars 2016
Posée des cloches de 1446 et 1617 par les élèves de l'école du centre-ville, dans le beffroi du Temple de Nyon. Discours de Daniel Rossellat, syndic sortant de Nyon

Sigfredo Haro

propos recueillis par Rodolphe haener

rhæner@lacote.ch

A la tête de l’exécutif nyonnais depuis ses débuts en politique en 2008, Daniel Rossellat a de nouveau été réélu au premier tour des élections. La droite n’a ainsi pas souhaité challenger son poste de syndic. Entretien.

Avez-vous été déçu du résultat de ces élections?

Par rapport à ce que j’avais imaginé, disons que la situation n’est pas idéale. Mais je peux parfaitement vivre avec ce nouvel équilibre des forces.

Vous y attendiez-vous?

C’est un résultat imprévu mais pas imprévisible. Il y avait, dans ma vision, une logique à partir à 4 candidats et non 5 ou 6, car je voyais peu de probabilités pour que la gauche renverse la majorité au Conseil communal. Dès lors, je ne souhaitais pas repartir dans une législature caractérisée par un manque de symétrie entre législatif et exécutif, comme c’est le cas actuellement. Par contre, ce qui était...

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