marie-christine fert
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Le Vert nyonnais Yvan Rytz a été étonné en découvrant que dans le district de Nyon, contrairement aux élections de 2012, le PLR et l’UDC n’étaient pas apparentés. Une particularité que l’on ne retrouve, au niveau cantonal, qu’à Lausanne. Ce politicien averti, qui œuvre pour la réélection de Béatrice Métraux au Conseil d’Etat, explique que les apparentements, alliances électorales entre plusieurs partis, peuvent être déterminants pour l’élection d’un député supplémentaire (lire encadré). Une tactique d’autant plus appropriée pour ce district, poursuit l’écologiste, qu’un fauteuil supplémentaire est en jeu. Et qu’en l’absence d’alliance à droite, les chances qu’il tombe dans l’escarcelle de la gauche sont renforcées. Un avis que partage le Glandois Yves Froidevaux, candidat sur la liste socialiste. «Mathématiquement, ça risque de leur coûter un siège», analyse le président de cette formation au niveau du district. Cette absence de contrat l’étonne d’autant plus que tant au...