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Dans son dernier roman, le Perrolan Jean-Robert Probst ressuscite la marquise du château d’Allaman

Le Perrolan Jean-Robert Probst publie une fiction inspirée de faits historiques ayant pour cadre le château d’Allaman et la marquise de Langallerie qui y vécut au XVIIIe siècle. L’opus oscille entre polar historique et roman d’amour impossible teinté de romantisme et d’érotisme. Rafraîchissant.

30 oct. 2018, 18:01
Jean-Robert Probst sous le platane, dans la cour du Château, où les deux amoureux de son roman se rencontrent, bien que séparés par trois siècles.

«La marquise vous est-elle apparue en rêve depuis que vous avez mis un point final au roman?» demande-t-on à Jean-Robert Probst. «Non, je l’attends impatiemment mais je pense qu’il n’y a pas de place pour deux!» répond-il, faisant allusion au héros masculin de son dernier roman qui communique par le songe avec une gente dame du XVIIIe siècle.

Dans «La marquise d’Allaman», le journaliste, écrivain et éditeur perrolan y ressuscite le personnage historique de la marquise Jeanne-Marguerite de Langallerie. Veuve d’un ancien lieutenant-général de cavalerie de l’armée française, elle racheta le château d’Allaman en 1723.

Tombeau réel

L’opus prend comme point de départ une étrange découverte qui eut bel et bien lieu en 1948. Des ouvriers découvrirent un squelette de femme emmuré à côté de deux cravaches de cuir. On présuma qu’il s’agissait de la dépouille de la marquise de Langallerie qui avait vraisemblablement fait part de sa volonté d’être...

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