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Débats nourris et incompréhensions pour fixer le plafond d’endettement

La détermination du plafond d’endettement a donné lieu à des discussions nourries et à des scènes rocambolesques.

19 déc. 2016, 23:51
/ Màj. le 20 déc. 2016 à 00:01

Durant les six premiers mois d’une nouvelle législature, la présentation et le vote du plafond d’endettement des communes pour les cinq ans à venir sont irrémédiablement à l’ordre du jour. Lors de la dernière séance de l’année civile, les conseillers communaux vaulis étaient amenés à se prononcer sur celui qui sera fixé pendant les cinq prochaines années.

Alors que la Municipalité proposait de le fixer à 13 millions de francs, la commission des finances (Cofin), dans son rapport, en suggérait un de moins. Selon cette dernière, les gros investissements du village sont passés et il n’est pas prudent de s’endetter davantage en période de vaches maigres. «Assumer en empruntant de l’argent, ce n’est pas assumer, clamait Michel Pecoud, membre de l’organe de surveillance. Si on voulait vraiment assumer, on augmenterait le taux d’imposition.» Ce à quoi la syndique, Chantal Landeiro, rétorquait que le Conseil aurait refusé une telle proposition, car...

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