«Cela fait trois ans que le Service des sports nous invite au Festival des sports et l’Association des sociétés sportives nyonnaises nous reconnaît comme association depuis cet été. Il me semblait normal que la Ville en fasse de même!» Arnaud Durand, le président de l’association Surfbike, n’en peut plus d’attendre. L’origine de sa grogne? La lenteur que met le service juridique de Nyon à enregistrer son association comme telle, afin qu’elle soit inscrite sur le site de la commune. Lancée en 2014, elle vise à promouvoir les sports écologiques. Le nom Surfbike désigne lui un moyen de locomotion sur le lac: un croisement entre une planche de surf et un vélo.
Les avantages à figurer sur le site de la Ville sont nombreux, que ce soit au niveau de la légitimité de l’organisme ou encore pour gagner en visibilité pour les potentiels intéressés. «On n’est pas du tout fâchés avec...