Lors des séances du Conseil communal, la municipale Elisabeth Ruey-Ray, en charge de la Police et de la Mobilité, est souvent malmenée. Non pas par des élus siégeant à la gauche de l'échiquier politique, mais par ses "amis". Ainsi, en décembre dernier, lors du vote du budget 2014, le Parti indépendant nyonnais (PIN), avec le soutien du Parti libéral-radical (PLR), a fait capoter une ligne de crédits de 90 000 francs destinée à une étude sur des abribus que sollicitait l'Office de la mobilité (voir ci-dessous). La municipale assure que, si elle est attaquée, c'est parce qu'elle est à la tête de dicastères exposés et qu'à travers elle, c'est la Municipalité qui est visée.
Comment expliquez-vous les critiques dont vous faites l'objet concernant la mobilité?
La question de la mobilité est à voir dans son ensemble et dans une ville en plein développement. Il s'agit d'étudier et de mettre en...