Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Elle volait des montres de luxe au sein même de l’entreprise

Une ouvrière en horlogerie a dérobé 20 montres à l’entreprise Hublot. Sous la menace de tiers, a-t-elle expliqué hier.

16 mai 2017, 22:54 / Màj. le 17 mai 2017 à 00:01
Nyon, mercredi 24 juin 2015
Travaux de la passerelle Hublot posée sur la ligne du Nyon Saint-Cergue à Nyon

Sigfredo Haro Passerelle Hublot Nyon Saint-Cergue, Nyon

Le cadre: une entreprise horlogère de luxe. Les acteurs: une ouvrière en horlogerie un brin solitaire, sa prétendue et récente amie prostituée et des hommes de main roumains. Le scénario: sous la contrainte, l’employée dérobe une vingtaine de montres de luxe pour un montant total de plus de 536 000 francs.

«C’est une histoire digne d’un roman policier», a commenté Maître Charlotte Iselin, avocate de l’une des deux prévenues. Car, comme le dit le proverbe, la réalité dépasse la fiction et ce scénario s’est bel et bien déroulé dans la vraie vie, en l’occurrence dans l’entreprise Hublot à Nyon.

Pour protéger les siens

Hier, seule l’ex-employée horlogère, licenciée depuis les faits, s’est présentée face au Tribunal correctionnel de l’arrondissement de La Côte; son amie roumaine a brillé par son absence. Interrogée par la présidente Erica Riva Annaheim sur les motivations qui l’ont poussée à dérober toutes ces montres, elle a...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias