Ils étaient une dizaine à s’accorder autour d’un seul et même objectif: «défendre les droits de notre mère nature». Venus tout droit du Brésil, du Pérou, du Bénin, de Taiwan ou encore de Nouvelle-Calédonie, ces représentants de peuples premiers ont tous passé quatre jours dans un chalet en montagne, à Arolla, pour échanger sur leur vision du monde et trouver des solutions pour préserver la nature. Mardi, ils ont présenté leurs réflexions à Nyon, face à la presse.
Organisé par l’association suisse NiceFuture, le projet «Au cœur des Temps» a démarré le 9 mai et s’achèvera le 17 mai. Neuf jours placés sous le signe des rencontres thématiques et de la réflexion, alimentée notamment par des scientifiques et des chercheurs. Durant ces quelques jours, les agriculteurs indigènes présents ont pu également rencontrer des agriculteurs suisses.
Exemple à suivre
Leurs traditions millénaires, leurs savoir-faire ancestraux et leurs manières de vivre font...