Jeudi soir, c’était la dernière séance pour la syndique Florence Sage et le municipal Georges Richard. «Pour moi, ils sont des exemples», a déclaré le futur syndic André Darmon.
La première a rejoint la Municipalité en 1999, le second il y a quinze ans. Ils ont été particulièrement applaudis pour leurs années de travail à dessiner l’avenir du village.
Travail et persévérance
Bien sur que les deux intéressés étaient émus, et, à leur tour, ils ont salué les conseillers communaux pour leur soutien. «Un engagement à la Municipalité, c’est de la persévérance, encore et toujours», a commenté Florence Sage, au regard du temps que prennent les dossiers pour aboutir.
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De son côté, Georges Richard, qui va rester à la tête de la fondation du Bois de Chênes, a rappelé la formule: «Tout seul, on va plus vite, mais ensemble, on va plus loin».
Une première motion pour gagner du temps
Cette figure du village qui est entré au Conseil communal en 1990 a rappelé l’une des premières motions qu’il a fait adopter à savoir la suppression, en début de séance, de la lecture du procès-verbal de la réunion précédente. «Elle nous faisait perdre beaucoup de temps, surtout en discussions!» A priori, personne ne lui en a voulu!