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Giron Nyon: 7 semaines de bras de fer pour 6 heures de vigile en plus

Une convention a été signée vendredi dernier par la clinique de la Métairie, la commune et la Jeunesse de Nyon. Elle prévoit le retrait du recours en échange de quelques menus arrangements sécuritaires. Elle lève surtout les risques juridiques pour les organisateurs du giron.

27 mai 2019, 19:00
Dans son ambiance western, la jeunesse de Nyon et le comité d'organisation retrouvent le sourire: (de g. à dr.) Benoît Ramel, Fanny Borloz, Julien Renaud, Frédéric Borloz et le président, Stéphane Delley,

Un accord est enfin intervenu et un protocole a été établi entre les organisateurs du prochain giron des Jeunesses du district, la clinique de la Métairie, voisine du site de fête, et la Ville de Nyon. Il a pris du temps, mais permet de lever les derniers nuages juridiques qui risquaient de plomber le ciel de la manifestation programmée du 26 au 30 juin, à dix minutes du centre-ville nyonnais.

«Désormais, on sait que ces jeunes, qui s’investissent tous les week-ends depuis l’automne et tous les soirs depuis quinze jours, ne travaillent pas pour rien. Nous n’étions jamais à l’abri d’une décision défavorable pour nous en cas de jugement par le tribunal cantonal», commente Stéphane Delley, président du comité d’organisation du giron Nyon 2019.

Un accord de façade

Mais les parties sont passées par tous leurs états avant de voir le fameux document paraphé par la directrice de la clinique,...

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