Le concept est vieux comme le monde: une personne tape à la porte d’une maison pour y trouver un abri, pas cher, pour la nuit.
Cette tradition du gîte est loin d’être perdue. Mais elle se confond désormais avec les chambres d’hôtes qui, elles, reçoivent les visiteurs dans une villa. Selon l’office du tourisme de Nyon Région, ces dernières marchent plutôt bien en zone urbaine.
Qu’en est-il de celles qui sont plus éloignées? Comment font-elles pour résister à la concurrence?Une chose est sûre, il est extrêmement difficile, voire impossible dans la majorité des cas, de vivre de ces revenus.
Pour se maintenir à flot, certains ont développé en parallèle d’autres activités.
Retrouvez l'enquête complète dans nos éditions de jeudi 27 avril.