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«Gland n’est pas si moche, finalement»

L’artiste Héloïse Pocry a lancé début janvier un projet participatif, pour interroger la relation que les Glandois entretiennent avec leur ville. Et ce n’est pas le coronavirus qui va stopper l’écrivaine.

17 mars 2020, 12:27
La jeune écrivaine Héloïse Pocry stimule les échanges, grâce à l'écriture et son peps tout personnel.

Gland n’est pas si moche, finalement. C’est le titre, provocateur, qu’Héloïse Pocry a donné au dossier qu’elle adressait il y a quelques mois au Service de la culture de la Ville. L’objectif: tenter de décrocher la résidence artistique proposée par la commune à La Pépinière, ce lieu d’échange et de création ouvert il y a cinq ans. «J’y suis allée franco!» lâche la jeune femme. Et son culot a fait mouche: elle a obtenu la résidence tant espérée.

Depuis janvier, elle était donc à pied d’œuvre dans l’une des salles de La Pépinière. Le lieu a finalement été fermé ce week-end, pour cause de pandémie. Mais pas de quoi remettre en question le projet. Avec celui-ci, Héloïse Pocry souhaite interroger son propre rapport mais aussi celui des Glandois à leur propre ville.

Sa démarche comporte trois volets distincts. Un premier, très personnel, dans lequel la jeune femme donne libre cours...

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