En accédant à la présidence du Parti socialiste vaudois (PSV), vous attendiez-vous à une année aussi difficile?
C’est une année qui a été pleine de défis, mais je ne la considère pas comme difficile. Nous avons fait élire Pierre-Yves Maillard à la tête de l’Union syndicale suisse (USS), puis réussi à conserver son siège au Conseil d’Etat. Nous avons également une excellente dynamique pour les prochaines élections fédérales. Alors oui, il y a eu des sacrés challenges, prenant en temps et en énergie. Et dès que vous ajoutez le facteur humain, cela demande plus de soin pour faire les choses dans le respect des personnes.
Qu’est-ce qui a été le plus complexe à gérer? Le cas de l’ex-municipal veveysan Lionel Girardin, suspendu de ses fonctions par le Conseil d’Etat pour conflit d’intérêt, ou l’affaire Géraldine Savary à qui il a été reproché ses liens avec le milliardaire Frederick Paulsen?
Ces...