Ecole trop éloignée du domicile, pas située sur le trajet du travail, pas assez proche des grands-parents qui assurent la garde ou encore souci par rapport au parascolaire. Si dans l’immense majorité des cas, l’enclassement ne pose aucun problème, chaque année, les directions d’établissements scolaires sont sollicitées par des parents mécontents du sort réservé à leur progéniture.
Et le dialogue n’est pas toujours évident entre l’école vaudoise, qui doit répartir 93 000 jeunes dans les 93 établissements primaires et secondaires du canton, et des familles confrontées à des soucis organisationnels concrets, parfois source d’angoisse, mais aussi très particuliers.
Une histoire de scénarios
Pourtant, trouver ce point d’équilibre est essentiel au bon déroulement de l’année scolaire à venir. Cette lourde tâche revient aux directions qui travaillent en étroite collaboration avec les communes. Le canton intervient en cas de demande de dérogation ou si les parents font recours d’une décision.
Pour assurer...