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L’étonnante histoire d’une toile rolloise qui parcourt le monde

Le tableau d’une Rolloise, peint par son beau-fils, se retrouve exposé dans une galerie à Miami. Une histoire d’autant plus surprenant que l’artiste est débutant.

05 déc. 2019, 05:00
Grégoire Vorpe, l'artiste, et Béatrice Ingold, la propriétaire du fameux tableau.

De loin, c’est une grande toile blanche recouverte de petits points noirs. Il s’agit en fait d’une multitude de lettres. Elles forment des mots, des phrases. C’est une reproduction des conditions générales de l’IOS 11, le système d’exploitation des smartphones d’Apple que chacun est censé valider avant de pouvoir utiliser son nouveau téléphone. D’où ces deux mots, «J’accepte», qui figurent en blanc au centre du tableau.

Il y a quelques jours, cette toile se trouvait encore dans le salon de la Rolloise Béatrice Ingold. C’est un cadeau de ses parents. Ils l’ont achetée l’été dernier à un peintre débutant, Grégoire Vorpe, qui n’est autre que le beau-fils de Béatrice Ingold. Cette dernière avait flashé sur le tableau lors d’une première expo. Mais voilà qu’à peine accroché dans son salon, elle se le faisait «piquer» par une galerie à Rome. Et début décembre par une galerie à Miami.

31 000 lettres...

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