Dans sa prochaine séance en mai, le Conseil communal devra se prononcer sur une demande de crédit complémentaire de 812 000 francs. La commune pensait vendre quatre parcelles à 550 francs le mètre carré, mais depuis l'acceptation du projet, en 2013, le marché immobilier a bien changé. Non seulement, le terrain ne se vend plus aussi cher, mais en plus, les acquéreurs se font rares. L'exécutif a donc imaginé un autre mode de financement, qui passe notamment par le Fonds Christinet.
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