Cédric Bernard s’est lancé dans l’aventure il y a environ six ans parce qu’il a «toujours aimé la bière et que l’offre des mastodontes du secteur n’est pas passionnante.» Il brasse ses premières «blondes» dans sa cuisine pour un résultat qu’il qualifie de "dégueulasse". Il faut dire que produire de la bière cela ne s’improvise pas et que la moindre erreur a de fâcheuses conséquences pour le palais du dégustateur. Mais le Myarolan ne se décourage pas, bien au contraire. En 2014, afin de se perfectionner, il se forme durant une semaine au Musée français de la brasserie près de Nancy.
Un hobby avant tout
"Je travaille sur ma production en soirée et les week-end, cela reste un loisir", confie celui qui est directeur à la Fondation officielle de la jeunesse (Foj) à Genève. Concernant la diffusion de sa production Cédric Bernard préfère rester prudent et ne veut pas brûler les étapes. "Je table sur une production annuelle d’environ 1800 litres, pas de quoi arroser le marché!"
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