La Cour n'a pas cru la version de l'accusé, même si elle a admis que la victime avait menti. Pour elle, c'est parceque cette jeune fille était en rupture avec sa famille et dans un profond désarroi qu'elle s'est laissée embobiner par l'accusé. Cet homme n'en est pas à son coup d'essai et les similitudes avec une précédente affaire, où il avait été condamné à la prison avec sursis, est suffisemment troublante pour que la Cour tienne pour vraie la version de la victime. L'homme est condamné à 10 mois de prson ferme et au versement à sa victime de 3000 francs pour tort moral. Il devra également assumer les frais de justice.
Détail du jugement dans notre édition papier de vendredi.