Il y a comme un malaise dans la petite commune du pied du Jura, même si, aujourd’hui, tous les acteurs impliqués semblent vouloir regarder vers l’avant et envisager le futur pour le seul bien de la commune. La pièce se déroule en deux actes.
Le premier, c’est la démission avec effet immédiat, début janvier, de la municipale Claudia Rovelli Wasser. La Saint-Georgeaise a pointé du doigt, notamment, une atmosphère malsaine et un manque de collégialité. En octobre 2014, Brigitte Longerich claquait la porte de l’exécutif pour des raisons similaires.
Quant au second acte, il a quelque chose de plus rocambolesque. Il s’est déroulé à la veille du dépôt officiel des listes le 11 janvier. Lors d’une assemblée de commune, puis par le biais du bulletin communal, les autorités ont fait savoir qu’il y aurait «une liste ouverte à quatre», composée des sortants. La démission de Claudia Rovelli Wasser a changé...