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La crise du logement réunit les partis

Malgré un consensus politique inédit entre des membres de l'UDC et du groupe rose-vert, il n'y aura pas de quota sur les logements d'utilité publique. Une interpellation a été rejetée.

05 mars 2015, 00:01
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jlaurent@lacote.ch

La motion suprapartisane "Pour que Rolle se dote d'une véritable politique du logement" - déposée mardi soir et cosignée par Arthur Petit (UDC) et les socialistes Pierre-François Charmillot et Patrick Bréchon - a suscité un débat nourri entre exécutif et organe délibérant, lui-même partagé sur la question. Les motionnaires proposaient de viser un taux moyen de 25% de logements d'utilité publique sur l'ensemble des projets immobiliers en cours de réalisation (Gare Nord-Schenk, Sous-Bellefontaine, Grandes-Buttes/Jardins et Les Vignes), estimant que peu de logements à loyer abordable y étaient prévus. Ils ont qualifié la situation sur le territoire rollois de "préoccupante du point de vue de la diversité de l'offre de logements à louer." Et Pierre-François Charmillot d'ajouter: "Notre ville a la moyenne des loyers mensuels la plus élevée du canton."

Finalement, la motion, transformée en interpellation, moins contraignante, a été balayée par les conseillers. Un refus qui a reflété la...

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