«Don’t You Forget About Me», «Alive And Kicking», «Mandela Day», des tubes incontournables qui ont marqué au fer rouge la pop des années 1980, période post-rock où prédominaient synthés et sonorités new-wave. Simple Minds, le plus célèbre des groupes écossais, revient avec un 17e album, «Walk Between Worlds», qu’il présentera au Caribana jeudi 9 juin, quatorze ans après un premier passage sur la plage de Crans-Près-Céligny.
Embarquant pour une tournée estivale des plus chargées, la formation de Glasgow, menée depuis 40 ans par le duo inséparable Jim Kerr (chant) et Charlie Burchill (guitare), tient à prouver qu’elle est plus vivante que jamais.
Pionniers de la new-wave
Né en 1977 des cendres punk de Johnny & The Self Abusers, Simple Minds pioche son nom dans le répertoire de David Bowie – influence majeure du groupe – et s’affirme vite en pionnier d’un nouveau genre. En gardant l’inventivité et la rage d’un...