Un rapide passage par la promenade d’Italie permet de constater une réalité qui voulait être évitée. En effet, une dizaine de requérants habitués des lieux, affalés sur des socles en béton et autres barrières souhaitent la timide bienvenue à chaque passant.
Mais où sont donc passés les bancs qui rendaient ces tristes socles un peu moins orphelins? Ils ont disparu. Les planches vertes formant les banquettes se sont vues irrémédiablement déclouées.
Les détails de cette décision politique dans l'édition de demain.