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La retraite agitée du maître fatigué Zao Wou-Ki

Dans le petit village de Dully, le maître de l'abstraction Zao Wou-Ki est au coeur d'une bataille juridico-familiale.

27 août 2012, 21:33
Entre ses tuteurs, son épouse Françoise Marquet et le ténor du barreau genevois Marc Bonnant, Zao Wou-Ki semble heureux.

L’artiste peintre Zao Wou-Ki et sa troisième femme Françoise Marquet ont quitté Paris pour s’installer à Dully en octobre 2011. Alors que son fils Jia-Ling Zhao avait demandé une mise sous tutelle de son père en France, c’est sa belle-mère qui l'a obtenu, en Suisse.

Depuis, une bataille juridique a été engagée par Zhao, qui assure que son père, s’il était capable de discernement, serait resté en France. Une sorte d’«affaire Bettencourt» bis pour la presse française. Le prix des toiles de l’artiste peut atteindre plusieurs millions de dollars.

A 92 ans, Zao Wou-Ki paraît fatigué mais heureux dans sa magnifique villa de Dully. Jia-Ling Zhao, le fils d’un premier mariage aurait pourtant souhaité que son père reste à Paris, où il résidait depuis plus de 60 ans. Il reproche à Françoise Marquet de ne pas respecter le souhait de son mari, avec qui elle vit depuis 39 ans mais de vouloir s'assurer une meilleure part sur la succession.

Pourtant, Françoise Marquet, co-tutrice avec Marc Bonnant de Zao Wou-Ki, a misé sur la transparence en expliquant sa démarche, soutenue notamment par l'ancien Premier ministre français Dominique de Villepin.

L'article complet est à retrouver mardi dans vos quotidiens.

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