La commune a accepté de faire un pas dans le conflit qui l'oppose à une partie des usagers du camping, et de leur côté, ceux-ci ont accepté de s'adresser aux services sociaux régionaux pour tenter de trouver une solution à leur problème de logement. Mais la hache de guerre n'est pas totalement enterrée pour autant, tous doivent se retrouver à la préfecture en novembre, pour une nouvelle audience. En attendant, cette affaire est suspendue.
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