Quel processus vous a mené à la réalisation du film Tadmor ?
Monika Borgmann : Nous avons beaucoup travaillé sur la violence, sur ce qui mène un homme à être capable de violence. Après notre film Massaker, nous pensions avoir fait le tour de la question. Puis en 2008, nous avons rencontré d’ex détenus de prisons syriennes. Au début, nous n’avions pas l’idée de faire un film, nous voulions plutôt promouvoir leur cause. Puis, quatre ans plus tard, nous avons commencé par faire des interviews. C’est seulement par la suite que la mise en scène de la vie dans la prison est venue agrémenter les interviews pour les rendre plus vivants.
N’était-ce pas trop difficile pour ces hommes de revivre leurs souffrances passées ?
Retrouvez l'interview complète dans nos éditions payantes de ce mercredi 20 avril.