Comme l’a rappelé le syndic Didier Lohri, le bois est omniprésent dans cette construction. «Il fallait que la piscine et le nouveau complexe soient dans le même style. Ce qui est le cas, les deux structures s’intègrent parfaitement. Et on s’est assuré d’avoir une traçabilité à 100% au niveau des fournisseurs.»
Par contre, la Municipalité se trouve confrontée à des inconnues face au financement.
«Même si la population a répondu favorablement au référendum populaire et si la volonté du canton est de favoriser des appartements de ce type, nous avons mis une troisième fois à l’enquête le bâtiment à loyers abordables au centre du village. On risque de se trouver avec deux bâtiments. Et actuellement, on est dans l’impossibilité de compter sur le financement de 36 000 francs de la fondation pour respecter le préavis communal présenté. Pour compenser ce manque, la Municipalité devra prendre les mesures financières nécessaires, c’est-à-dire augmenter les impôts», détaille le syndic.
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