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Le plan social de Generali est controversé, malgré des mois de lutte

Les conditions ont été validées par les employés, mais pas par le syndicat Unia, qui a refusé de les signer.

10 avr. 2017, 23:26
/ Màj. le 11 avr. 2017 à 00:01

Une issue a finalement été trouvée entre les employés de Nyon et la direction de Generali Suisse. Après des mois de négociations parfois houleuses – deux demi-journées de grève ont notamment été menées –, la direction de l’assureur italien et les représentants du personnel se sont mis d’accord sur les modalités d’un plan social qui touchera soixante personnes. Parmi celles-ci, un soutien externe pour faciliter la transition de carrière des employés dont les contrats seront résiliés et transférés à Adliswil (ZH). «Concrètement, il est question de bilan de compétences et d’autres mesures favorisant la recherche d’un nouveau poste de travail», explique Mischa Vajda, porte-parole de Generali. Le panel va de la rédaction de CV à des interviews fictives en passant par le coaching.

Insuffisant pour Unia

En outre, une indemnité de départ, variant entre un et huit mois de salaire, sera versée et les salariés seront libérés de leur...

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