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Les agents de sécurité publique n’ont plus la cote

Saint-Cergue, Arzier - Le Muids, Genolier, Givrins et Trélex modifient la surveillance de leur territoire.

03 juil. 2016, 23:44 / Màj. le 04 juil. 2016 à 00:01
Gimel, vendredi 19 février 2016

Poste de Gendarmerie Mobile à Gimel. Grégoire Borboën à la gendarmerie



Sigfredo Haro Poste Gendarmerie Mobile, Gimel

Depuis trois ans, les communes situées le long de la ligne du chemin de fer entre Trélex et La Cure avaient conclu un contrat pour se partager les services de deux agents de sécurité publique (ASP). Ceux-ci avaient pour mission de veiller à la sécurité des villageois, au respect du stationnement, etc... Ils devaient également organiser des patrouilles nocturnes dans l’ensemble des communes signataires, selon un planing défini par les autorités.

Or, «l’un des deux agents a été absent pour cause de maladie durant les six derniers mois de 2015», révèle l’ancien syndic d’Arzier - Le Muids, Eric Hermann. «Et comme les patrouilles de nuit doivent obligatoirement s’effectuer à deux, autant dire qu’il n’y a plus eu de surveillance nocturne depuis juillet 2015, ce qui est très ennuyeux». Lasses de cet état de fait, les communes ont donc décidé de renoncer à renouveler ce contrat. Certaines...

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