Patrick Buchs est furieux que la demande «d’union libre» formulée mercredi soir par les Vert’lib et qu’ils ont adressée par courrier au Parti indépendant nyonnais (PIN) ne soit pas restée secrète. Pour ce pilier des Vert libéraux, ce rapprochement serait profitable afin de créer un groupe fort défendant des valeurs centristes. Pour la prochaine législature, entre les 15 sièges du PIN et les 5 des Vert’lib, la nouvelle entité avec 20 élus, serait la troisième force du Conseil communal face à un PLR qui en compte 26, un PS 25, les Verts 16 et l’UDC 13. «Les Indépendants sont nos alliés les plus proches», commente encore Patrick Buchs. Qui estime aussi qu’avec l’arbitrage d’un centre fort, les tensions nombreuses ces derniers mois entre la droite et la gauche pourraient se détendre. Cette demande «d’union libre», où chacun conserverait son identité propre, n’est pas non plus désintéressée dans la mesure...
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