S’il affirme que le sentiment d’insécurité diminue grâce à la présence de ces «grands frères», Jhonny Domingues, responsable du programme pour la Suisse romande, se défend de tout angélisme: «C’est un travail sur le long terme. Le parrain doit donc faire preuve de persévérance.» Et parfois l’expérience réserve des surprises.
À lire dans notre édition du vendredi.