par Alexandra Budde
Ses amis l’appellent la «Garniologue», car tout chez Armenuhi Magarditchian traduit sa passion pour le temple de Garni, en Arménie. A tout juste 30 ans, la jeune femme a déjà la prestance d’une académicienne. Elle a d’ailleurs publié une version scientifique de ses recherches sur cet édifice – datant du 1er siècle – dans la «Revue des études arméniennes», et a donné de nombreuses conférences à ce sujet.
Mais il lui tenait à cœur d’en rédiger une version grand public sous forme de guide pratique et didactique: «Je considère que le travail de l’archéologue doit être partagé avec le plus grand nombre et dans le cas du temple de Garni, tant avec les touristes qu’avec les locaux», lance la jeune femme. Paru récemment, son ouvrage, «Le temple de Garni», est rédigé en anglais, français et arménien. Armenuhi Magarditchian le présentera au Salon du livre, ce...