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Le terrible orage de grêle du 20 juin 2013 est encore dans toutes les mémoires. Et ses effets continuent à se faire sentir sur les résineux de la région, dans les forêts comme dans les parcs et jardins privés. Ces derniers mois, un grand nombre de conifères ont encore été abattus, la faute à un champignon pathogène, le Sphaeropsis sapinea, provoquant un dépérissement progressif des pins déjà endommagés par la grêle (lire "La Côte" du 16 août). Ecorces fendues, rameaux atrophiés, aiguilles desséchées, branches dénudées. Des arbres aux allures post-apocalyptiques. " D'entente avec le garde forestier, nous avons attendu la fin de l'automne pour prendre une décision. Voyant que les pins ne se remettaient pas de leurs blessures, nous avons finalement choisi de les éliminer" , regrette Fabio Bucciol, municipal à Crans-près-Céligny, une des communes les plus touchées par la tempête.
Plans de reboisement
En tout, ce ne sont...