Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Les poules ont la cote, mais mieux vaut se renseigner avant d’en adopter

L’intérêt pour les poules grandit chez les privés. C’est sympa et, en plus, elles font des œufs. Mais avant d’investir dans un poulailler, il est primordial de se renseigner sur la détention de gallinacés.

23 avr. 2021, 05:00
Nicola Gianoli, vétérinaire à Nyon et éleveur de poules à Arzier, ici avec des ohikis. Le coq a des plumes qui poussent sans cesse jusqu'à la prochaine mue.

A l’âge de 2 ans, Nicola Gianoli était fasciné par la naissance de poussins dans le cadre de l’Expo 64, à Lausanne. Depuis, celui qui est devenu vétérinaire et a cofondé le cabinet vétérinaire du Boiron, à Nyon, investi une bonne partie de son temps pour ses dizaines de poules de races différentes qu’il détient à Arzier. Il nous explique, en six points, tout sur cet animal et conseille d’oublier les poules si vous avez un jardin tiré à quatre épingles. Ces gallinacés grattent partout et détruisent très vite les plantations. Un poulailler fixe avec un sol toujours enherbé est illusoire.

Une courte durée de ponte

Une poule peut vivre jusqu’à dix ans. Cependant, imaginer avoir son œuf tous les matins est utopique puisqu’elle pond de ses 22-25 semaines à 18 mois. Il s’agit du premier cycle où elle donnera le plus d’œufs, soit entre 80 et près de 300...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias